Jeudi 8 mai 4 08 /05 /Mai 15:33
 

Il s’approcha lentement d’elle le martinet à la main. Écartelée par des chaines attachées au plafond et au sol, elle attendait avec impatience les morsures des lanières de cuir. Elle allait souffrir, elle le savait, mais chaque coup reçu avec force étaient comme des mots d’amour que son Maitre lui disait. C’était sa façon à lui de lui prouver son amour. À chaque coups la douce peau satinée de son dos se zébrait de longues traces rouges, d’où perlait de petites émeraude de sang.

Elle ne disait mots, de toute façon il lui était impossible de crier, un bâillon l’en empêchait. Son dos brulait, des larmes perlèrent sous ses paupières. Elle aimait sentir les mots d’amour cruels qu’il lui disait par ces douleurs. Les yeux de son tortionnaire étaient glacials, il s’appliquait à lui faire le plus de mal possible, essayant de toucher les zones les plus sensibles de la chaire de sa soumise tant aimée.

Lorsqu’il lui eu asséné une cinquantaine de coups il arrêta, son bras le faisait un peu mal, une crampe s’y était installé. Il vint se coller contre le corps nu de sa soumise, l’embrasa dans le cou et lui murmura « Je t’aime petite chienne ».  Des larmes ruisselaient sur le visage d’ange de la suppliciée, tendrement son bourreau vint lui lécher  tendrement cette rivière de diamants.

Les yeux de la soumise brillèrent d’amour et de désir, une chaleur qui ne venait pas de son supplice monta de son ventre. Les lèvres de son vagin avaient difficile de retenir cette vague de miel qui envahissait son intimité.

Maintenant elle haletait faisant bouger ses hanches, son ventre se jetait en avant. Débarrassé de son bâillon elle ne pu retenir les mots crus qui débordèrent de ses lèvres. « Baisez-moi comme une chienne mon Maitre ! ». Lui la regardait avec dans ses yeux de l’amour, titillant de ses doigts les tétons de sa femelle. Elle continuait n’en pouvant plus de désirs « Faites de moi votre sac à sperme mon seigneur ».

Après avoir détaché les chevilles de sa chienne en chaleur des chaines qui l’entravait, il se déboutonna rapidement et se plaça devant elle, son vit dur pointait vers le trou béant et trempé de sa femelle.

D’un coup il s’enfonça jusqu’à la garde en elle. Elle poussa un cri de jouissance. Tout en la labourant il détacha les chaine de ses poignets. Lorsqu’elle se senti libérée et s’accrocha à lui des bras autour de son cou et des cuisses ouvertes autour de sa taille, le gardant jalousement en elle.

Il la coucha sur des coussins et se mis à la fourrager. A chaque coup de butoir elle criait d’un plaisir si longtemps retenu. Quand il se vida en elle, elle jouit dans un hurlement de louve assouvie.

C’était comme si on la jetait dans une arène inondé de soleil après être resté dans les ténèbres pendant des heures.

Maintenant apaisés tout deux, ils se caressèrent tendrement se murmurant leur amour.

Avant de s’endormir dans les bras de son bien aimé de Maitre elle alla nettoyer de sa langue  la verge de son Maitre, souillée de son foutre.

Elle rêva de demain. Demain elle le servirait à genoux, lui lècherait les pieds pour l’honorer.

Aura-t-elle une récompense comme aujourd’hui ? Dieu seul le savait.

Par Maitre Rohan
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